Flâneries dans Amsterdam

Pour nous rendre à Amsterdam, nous avons pris le bus, beaucoup plus simple et moins cher que de prendre la voiture et la laisser dans un parking souterrain.

Le bus 111 passe à l’entrée du village de Monnickendam et il nous a fallu environ 40 min pour arriver à Central Station, la gare routière qui est le terminus.

Amsterdam est réputée pour ses canaux, ses musées et sa législation permissive envers la consommation de cannabis et la prostitution. La ceinture des canaux se trouvant plus au sud de la gare routière, nous avons dû emprunter une rue du centre pour accéder à la place du Dam. L’odeur du cannabis vous assaille dès que vous mettez le pied en ville et une multitude de coffee-shops bordent les différentes rues du centre-ville. Pour les amateurs, il faut surtout rester au centre et se rendre dans le quartier rouge.

Nous avons été déçus du centre-ville, les bâtiments modernes côtoient les anciens et l’ensemble n’est pas très joli.

Nous avons donc poursuivi vers le quartier Jordaan en passant devant le monument gay, la Westerkerk et la maison d’Anne Franck pour descendre le long du canal Keizergracht vers le marché flottant au fleurs. Si vous aimez les tulipes, vous trouverez une quantité de bulbes de toutes les couleurs pour votre jardin.

Pour visiter le musée d’Anne Franck, nous vous conseillons de réserver sur internet les billets avec le jour et l’heure souhaitée car il y a un monde fou en file d’attente et personne devant la porte réservée aux billets électroniques !! Dommage, ça sera pour la prochaine fois. Les autres musées importants d’Amsterdam (le Rijksmuseum et le musée Van Gogh) ont le même système de réservation.

En flânant le long des canaux, on peut voir toutes sortes de maisons, pas très droites du reste. Elles comportent toutes un anneau en fronton servant, lors des déménagements, à sortir les meubles, les maisons et escaliers étant très étroits.

Vus de haut, les canaux de la ville forment une vaste toile d’araignée et il y a tellement de choses à voir que nous nous sommes surtout promenés au gré de nos envies.